Les Globe-trottoir à l’assaut de la Thaïlande du Nord

Après s’être enjaillé et avoir repris les kilos perdus depuis le début du voyage, vos serviteurs se remettent en route en direction cette fois du nord de la Thaïlande. Concrètement, on va pas mal manger de temples !

Pour autant, on n’a pas fait que ça ! On a aussi pas mal mangé et bringué (Réveillon de la nouvelle année oblige !)

Sukhothai sous la pluie avec Pauline !

26 décembre 2017 :

Toutes les bonnes choses ont une fin et nous quittons lhôtel à Bangkok pour rejoindre la station de Mo Chit au nord de Bangkok pour rejoindre Sukhothai. A Mo Chit, l’ensemble des prix sont affichés directement sur le kiosque qui va vous vendre le ticket de bus. Le plus dur est de trouver le kiosque desservant votre destination ! Pour ça, le personnel de la station vous expliquera où aller. On pense donc partir rapidement vers Sukhôtai mais on nous annonce que le bus qu’on visait est déjà plein et qu’il va falloir attendre une heure de plus à la station. Joie ! On prend notre mal en patience et rejoignons finalement un bus (avec faux Oreo et bouteille d’eau fournis !) qui nous amènera à Sukhothai sans embûche.

Arrivés là-bas, le climat est pour le moins frais & humide. Seul (gros) point de réconfort, on retrouvera quasi littéralement à la descente du bus ma chère et tendre cousine Pauline et son compagnon d’aventure Alex ! Il s’avère que Pauline est en sens inverse du nôtre et descend sur Bangkok pour rejoindre le sud de la Thaïlande et y fêter peu-dignement la nouvelle année ! On se rejoint donc à Sukhothai pour tailler la bavette et rattraper un peu les mois de retard dans nos discussions ! On mangera par ailleurs dans un restaurant buffet plutôt correct à coût très modéré situé sur la route allant vers le quartier historique (il n’y qu’une grande route reliant le « nouveau centre » vers la station de bus au vieux quartier).

Quelques bières plus tard, c’est déjà l’heure de nous séparer et de se souhaiter mutuellement une bonne suite d’aventure.

Notre hôtel a pour blaze le Rueangsrisiri Guesthouse 2. Il se situe 30 mètres de la station de bus de la ville. On y retrouve un petit dej sympa et des chambres propres pour un prix vraiment ridicule. On a même une salle de bain très convenable personnelle !

27 décembre 2017 :

On avait prévu naturellement de passer une journée de plus sur Sukhothai, ce que l’on fera, mais en ne sortant quasiment pas de la chambre. La pluie intense s’abat sur nous toute la journée, refroidissant nos ardeurs. On n’était pas non plus franchement emballé par la visite de ruines à la base. On met donc cette journée à profit pour bosser un peu et nous remettre de nos émotions de ces derniers jours.

Chiang Mai : Temples, lanternes et réveillon !

28 décembre 2017 :

On quitte donc à 8h30 le matin Sukhothai pour une étape clé de notre parcours nord-thaïlandais : la ville de Chiang Mai. Plus touristique, la ville propose des temples plutôt massifs et très réputés. On arrive à la station de bus de la ville en début d’après-midi. Celle-ci est située en légère périphérie à l’est de la ville. On prendra une sorte de taxi mutualisé pour arriver à l’hôtel.

On profitait ici d’une remise de Booking.com qui nous a permis de taper dans une gamme un peu supérieure à ce que l’on avait l’habitude de réserver jusque-là. On s’est donc tournée vers le Baan Chiangmaan qui propose des (petites) chambres climatisées avec TV et salle de bain privée.

Une fois nos affaires déposées, on se promène dans la charmante vieille ville de Chiang Mai afin de nous familiariser à notre nouvel environnement. On a pris cette routine lorsque l’on arrive dans une nouvelle ville pour s’imprégner un peu de l’ambiance. On n’est d’ailleurs pas déçus et on se sent bien à Chiang Mai.

En soirée, on ira au resto où l’on mangera plutôt correctement et partagerons le repas avec des sud-américains qui nous donneront une information cruciale sur notre séjour dans la ville : il existerait un Décathlon à Chiang Mai ! C’est clairement le tournant du voyage ! On rentre un peu plus tard à l’hôtel pour clore cette journée.

29 décembre 2017 :

On rentre cette fois dans le vif du sujet avec la visite de plusieurs temples prévus ! Le premier est le Wat Chiang Man où l’on découvrira, comme partout en Thaïlande un édifice de taille très modeste qui doit faire la taille de 3 stades OKLM. A l’arrière du temple, un deuxième édifice massif fait de briques rouges et bâti à la toute fin du XIIIe siècle est en fait la véritable « attraction » du temple. On ne peut toutefois pas monter dessus mais c’est un lieu incontournable de Chiang Mai. Attenant à ce temple, des stands de bouffe par milliards où on se promet de repasser dans quelques heures. (Guess what ? We did !)

Le coquet Wat Chiang Man, décoration sobre et épurée.

On continue notre périple vers le Wat Phra Sing où un autre bouddha géant nous accueillera. Celui-ci est intégralement recouvert de couleur or, comme toujours en Thaïlande. Certains temples sont interdits aux femmes (mêmes pieds-nus, même sans menstruations, rien !). Comme souvent en Asie, ce temple a vécu sous différents règnes et différents régimes : la construction a débuté en 1345 et l’occupation birmane du territoire entre le XVI et le XVIIIe siècle a entraîné la quasi-destruction de celui-ci. Heureusement, les Thaïs aiment beaucoup les temples et les différents rois successifs restaureront l’édifice jusqu’à son résultat d’aujourd’hui. Les façades y sont impeccables et le tout est comme d’habitude magnifiquement entretenu.

Y’en a deux qui n’ont pas compris où se situaient les buddhas 😮

On passe ensuite devant le 3 king’s monument qui fait honneur aux 3 rois qui ont bâti de leurs mains la ville de Chiang Mai. La statue est positionnée sur une grande place où ont visiblement lieu des concerts.

On se demande si le choix des chapeaux a été soumis à référendum ou s’ils ont juste paniqués

Inutile de dire qu’on avait vu (à mon goût) bien assez de temples pour la journée voir pour la semaine. Marghe commençait juste à être en forme et était déterminée pour en voir une centaine de plus. La faim nous rappelle en début d’après-midi et on revient donc vers le premier temple pour y déguster un pad thaï des familles ainsi que quelques douceurs locales.

On finit la journée en découvrant un dernier temple (Marghe l’a promis !) : le Wat Chedi Luang. Édifice en deux parties, sa particularité est d’avoir un immense bâtiment servant de caveau à l’arrière du temple lui même orné d’un bouddha d’émeraude ! Ça en jette hein ? Comme l’ensemble des temples visités dans la matinée, la visite se fait en une bonne demie-heure et permet de mieux se rendre compte l’investissement que représentaient la construction (et la maintenance) de ces édifices datant tous à peu près de la même période.

Jean-temple vous bénit !

On rentre bien fatigués et bien suants (tout se fait à pieds) se détendre pour la fin d’aprèm. La journée du lendemain s’annonce forte en émotions !

30 décembre 2017 :

Pour cette journée, on avait prévu de louer un scooter pour aller visiter un temple plus lointain et se promener un peu plus loin que ce que nous permettaient nos pieds. Ce fut une riche idée.

On se dirige donc vers le Wat Phrat Doi Suhtep que l’on atteindra après un bon moment de route. On a en effet été freiné par une manifestation religieuse, des bouchons à la sortie de la ville et la distance. On finit toutefois par arriver et on commence à gravir les nombreuses marches qui nous mèneront en haut du temple qui vaut vraiment le coup d’œil. Immenssissime, de nombreux fidèles et curieux le visitent pour sa splendeur et son point de vue. Étant donné qu’on grimpe environ 7200 marches, le point de vue est assez spectaculaire et un parvis est installé en marge du temple pour taper 2/3 selfies de qualité chinoise ! On prendra d’ailleurs plusieurs photos pour des familles de touristes venus immortaliser l’instant.

J’écoute pas t’existes pas donc vas-y parle à ma maiiin !

On mangera en bas des marches … un autre Pad Thaï fort goutu et entamerons notre descente vers la ville pour un évènement spécial.

On remonte en selle ensuite pour partir visiter notre deuxième (et dernier) temple de la journée : il s’agit du Wat Umong. Assez célèbre pour ses statues où le graveur n’a parfois décidé de faire que les têtes et son style particulier (très bas de plafond, constitué de galeries et de niches), on se souviendra également de ce temple pour sa pagode géante. Ce temple bouddhiste a 700 ans et est orné de petits panneaux sensé favoriser la réflexion sur soi-même. La visite est très sympa et différente de ce que l’on avait vu jusque la. On n’a pas non plus été embêté par les touristes, assez peu nombreux à cet endroit. En plus, la visite y était gratuite, que demander de mieux ?!

Instant crush

Le point d’orgue de notre visite à Chiang Mai : le shopping à Décathlon ! Bon évidemment c’est à peine exagéré mais il faut avouer qu’on était assez contents de trouver cette enseigne franchouillarde à ce moment : on avait besoin d’un peu de matériel et Décathlon a été notre enseigne favorite les derniers mois avant notre départ. On a donc tissé un lien particulier avec le groupe au point d’être appelé par notre prénom lorsque l’on arrive dans n’importe quel décathlon dans le monde (non c’est faux).

Ceci fait, et un raincover acheté pour protéger mon sac du mauvais traitement des bagagistes un peu volages des aéroports asiatiques, on retourne à l’hôtel, le sentiment du devoir accompli. On se dit même qu’on va fêter ça en commandant à manger pour se faire livrer à l’hôtel. La livraison n’arrivera malheureusement jamais et nous nous coucherons le ventre vide ce qui est un scandale absolu. On ne vous recommandera donc jamais de commander sur Foodpanda où sur 3 commandes (2 au Vietnam, 1 en Thaïlande) 2 ne sont jamais arrivées. La Segpa-tance de ce groupe n’est donc plus à prouver 😮

31 décembre 2017 :

La remise du scooter ne se fait pas sans mal. Après avoir convenu d’une remise à 09h, le loueur ne se pointera à l’hôtel qu’1 heure 30 plus tard en invoquant de nouvelles rayures sur son scoot. Après lui avoir montré les photos et mis le nez dans son caca, il demandera tout de même 200 bahts de plus pour le retard de la remise des clés. Commençant à sentir la moutarde me monter, je lui dis que ça fait plus d’une heure 30 que je l’attends et qu’il va vite s’en aller avec son scooter et me rendre mes 2000 baths de caution sans un centime de retenue. Le bro-tip des globe-trottoir est donc le suivant : prendre des milliards de photos du véhicule loué (si possible sous les yeux du loueur) et demander à l’hôtel d’appeler le loueur si celui-ci n’a pas rappliqué dans les 10 minutes après l’heure de remise des clés prévue.

On profitera d’un petit rattrapage dans nos séries ainsi qu’un peu de boulot en journée. En fin d’après-midi on décide de se bouger un peu pour rejoindre le centre-ville où nous attendent les festivités. On s’arrêtera en route pour étancher notre soif dans une des nombreuses terrasses de la ville où on boira 2/3 cocktails relativement bien dosés et nous mettant dans l’ambiance.

On aperçoit déjà dans le ciel des points lumineux qui ne sont ni des hallucinations dues à notre taux d’alcoolémie encore faible ni aux étoiles. Leur nombre augmente rapidement et on devine rapidement qu’il s’agit des fameuses lanternes lancées par les badauds pour célébrer la nouvelle année.

Le gros des lancements se fait depuis le canal qui traverse le centre-ville de Chiang Mai. On s’empresse donc de rejoindre le mouvement et dépensons un peu d’argent pour acheter une lanterne que nous nous apprêtons à lancer dans un arbre dans le ciel rejoindre les centaines d’autres.

Lâcher de lanternes à Chiang Mai

Bonus fin 2017 : notre lâcher de lanternes dans le ciel au dessus de Chiang Mai 🤩🎈

Publié par Globe-Trottoir sur lundi 1 Janvier 2018

Le lancement est une totale réussite et on est vraiment ravis d’avoir participé à cette tradition millénaire de la ville. Les lanternes sont lancées depuis Chiang Rai depuis très longtemps et accompagnés des vœux de leurs lanceurs. Pour nous, difficile d’en demander plus qu’en cette fin d’année 2017. Le cœur léger et émus, on clôture 2017 de la plus belle des manières !

On se dirige par la suite dans un resto cher et quelconque (tenu par un français qui croyait tenir un 3* Michelin visiblement) où l’on mangera de la nourriture peu fameuse mais où on boira quelques pichets de blanc qui font leur travail de préchauffe avant d’aller s’aventurer à proximité du cœur de la bringue le Zoe in Yellow. Situé à quelques hectomètres de notre hôtel (et heureusement), on se retrouve avec la totalité des bringueurs de Chiang Mai venu fêter les 12 coups de minuit. Tassés comme un jeudi soir en boite à Sainté, on suffoque mais on apprécie l’esprit hyper bon enfant de la bringue. Un DJ est présent et rate bien entendu le compte à rebours en faisant le fameux décompte allant de 10 à 0 en 3 secondes environ. Et oui, on est en Thaïlande !

Party très très hard

On s’écarte un peu par la suite pour assister dans la même rue à un concert de hard-rock ou on secouera notre tronc sur de bonnes reprises de RATM, Metallica et autres groupes qui permettent d’envoyer 2/3 thaïs dans le décor. Le père du batteur viendra même nous serrer la main tout heureux de nous montrer son fils en train de taper sur les caisses de sa batterie alors qu’on boit une bière pour nous rafraîchir !

Comme les photos, nos souvenirs deviennent de plus en plus flous

On rentre assez défait vers 3h30, très heureux d’un réveillon dont on se souviendra !

1er janvier 2018 :

Inutile de dire que le lendemain matin ne sera pas franchement violent. Il faut toutefois se résoudre à quitter l’hôtel pour retourner à la station de bus et rallier Chiang Rai à une centaine de kilomètres au nord de Chiang Mai.

Le pas assez lourd et la tête encore un peu douloureuse, on mangera dans notre petit resto fétiche en face de la station de bus un bon Pad Thaï à 30 baths puis on filera.

Arrivés à Chiang Rai en fin d’après-midi, on déposera nos affaires et nos corps lâches à l’hôtel Ann Hostel.

Chiang Rai : Temples de toutes les couleurs et Singha Park

2 janvier 2018 :

Enfin décuvés, on reloue un scoot pour 200 bahts à l’hôtel pour monter jusqu’au White Temple. Merveille architecturale construite récemment par le fameux Chalermchai Kositpipat en l’honneur du Roi Rama IX défunt il y a deux ans, le bâtiment est absolument spectaculaire. Le ticket d’entrée n’est pas abusé compte tenu de la beauté du temple. Dès l’extérieur, on est époustouflés par le soucis du détail et de tout ce qui a été construit par le richissime architecte.

Ce n’est rien comparé à l’entrée à proprement parler du temple, où une mare de mains sortant du sol nous accueille. Une fois les chaussures défaites et l’appareil photo rangé, on pénètre dans le temple en lui-même où d’immenses fresques nous donne une impression un peu particulière. Des personnages de fictions (dont Yoda, Pikachu et bien d’autres) se battent visiblement entre paradis et enfers accompagnés d’anges bouddhistes. La visite du temple en lui-même est assez rapide car il n’y a pas beaucoup de pièces à voir. La majorité du temps passé dans l’édifice se fait en extérieur pour contempler l’architecture assez dingue du temple.

Ceci étant fait, on chevauche notre fidèle monture et on se dirige vers le Singha Park. Pour ceux qui ne connaissent pas, la Singha est une des bières locales qu’on apprécie de déguster après une bonne journée de visite. On s’était dit qu’on pouvait lier l’utile à l’agréable en découvrant le parc.

Cadre champêtre et lac rempli intégralement de bière, bienvenue au Singha Park

En arrivant, des fontaines de bières et des pintes de 2 litres … ne nous attendaient pas :’(. On passera toutefois un superbe moment dans ce parc où les paysages sont de toute beauté. Ça nous aère un peu de la ville et on peut flâner autour du lac central. Sans trop se perdre, on arrivera à la moitié de la boucle où un restaurant nous attendra et nous proposera à des prix quasi indécents de la nourriture de bonne facture même si tout est orientée et cuisiné autour du porc. C’en est limite écœurant mais on avait besoin de force pour repartir boucler la boucle du parc et prendre une douzaine de milliards de photos supplémentaires ! Pour les fatigués, il est possible de prendre un caddy de golf pour arriver directement au restaurant et faire le tour du parc.

Ragaillardis par cette petite marche, on reprend le scoot cette fois vers la fameuse « Black House ». Alors là, sans faire de chichi, on ne vous recommande pas le spot. On a lu que c’était bien entendu l’œuvre d’un grand artiste nommé Tuwan Duchanee. A l’intérieur d’un parc où plusieurs bâtiments massifs (et quasiment tous fermés), on pourra apercevoir les « œuvres » dudit artiste principalement orienté autour d’os et de restes d’animaux morts officiellement naturellement (crocodiles, buffles, grenouilles, écureuils etc…). Les bâtiments sont de formes et de tailles différentes et à part la première grande pièce (que l’on peut traverser), on aurait mieux fait d’économiser nos 160 bahts (à deux) pour autre chose. On ne s’attardera donc pas trop sur place et nous redirigerons vers l’hôtel pour notre dernière nuit sur place.

3 janvier 2018 :

C’est déjà la fin de notre séjour à Chiang Rai et donc le début d’une journée composé une nouvelle fois de transport en commun. On se dirige à nouveau vers Chiang Mai pour une nuit afin d’être frais et dispo pour partir vers la Birmanie le 4 janvier (les départs se font en effet depuis la station de Chiang Mai).

4 janvier 2018 :

Une journée de transports nous attend et la traversée de la frontière se fait sans encombres majeurs. Il convient toutefois de noter plusieurs points :

  • L’arrêt du bus ne se fait pas exactement à la frontière (évidemment). Il faut donc emprunter un tuk-tuk collectif (négociable à 30 baths chacun max) pour arriver à proximité ou d’autres chauffeurs vous « demanderont » de monter avec eux pour la traversée du pont de l’amitié : cela n’est absolument pas nécessaire et vous pouvez facilement le faire à pieds.
  • La sortie du territoire Thaï se fait sans aucune difficulté, tout comme la validation des visas en Birmanie. A l’intérieur du petit local des gardes-frontières, le gérant d’une société de transport nous a pris immédiatement en charge (on suspecte légèrement une accointance avec ledit garde-frontière) et nous propose de partir pour Hpa-an (notre première étape) 10000 Kiet non négociable (il s’est presque énervé le bougre !) par personne (soit 12€ pour deux).
  • Comme le raconte Marghe dans son article sur la Birmanie, la deuxième partie du voyage a été infiniment longue avec notamment un lavage de voiture surprise en plein milieu de la route ! Découvrez-en plus en cliquant ici.

 

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